Nous sommes 5 pour effectuer cette nouvelle sortie. Il y a Nicolas, Cyril, Maxime, Gilles et Alain.
Le ciel est au bleu clair, la visibilité est bonne, alors autant en profiter pour grimper sur le Montaigu afin de profiter d’une vue panoramique sur tout l’environnement. Nous prenons la direction de Saint Siffret par le pin Bérard, la table d’orientation et effectuons quelques descentes et montées sur le travers de la Charaoù ceci afin de corser un peu le circuit et aussi de ne pas nous retrouver trop vite au sommet du Montaigu.
La traversée de la plaine est rapide et nous entamons rapidement la portion qui doit être notre dernière ascension de la journée. Seulement voilà quand les choses vont mal, elles vont mal. Tout d’abord, nous trouvons sur notre chemin plein de gros arbres couchés en travers du passage qui nous obligent à les enjamber tout en faisant passer les vélos par dessus et croyez-moi avec les VTTAE, c’est pas chose aisée. Dire qu’il y en a qui prétendent que nous ne faisons pas du sport! Quelle bande de cornichons! La première section franchie, nous nous apprêtons à passer la suivante. Gilles vient de nous quitter car il doit être de bonne heure chez lui, quand Maxime butte malencontreusement contre une bûchette qui vient se loger dans son dérailleur. Ce dernier est en piteux état et Maxime doit renoncer à poursuivre la sortie. Après une petite collation, nous l’accompagnons jusqu’au village de Saint Hippolyte où il sera récupéré par sa maman. Du coup nous n’irons pas sur le Montaigu mais peu importe, ce ne sont pas les solutions qui manquent pour pallier ce contre-temps. Nous nous dirigeons sur Saint Victor des Oulles par un ensemble de chemins et de sentiers, faisons une belle descente sur le versant opposé et nous rentrons à Uzès tranquillement par le moulin neuf. À l’arrivée, une bonne bière nous attend à la terrasse d’un café.
Cette sortie commencée à 5 et terminée à 3 nous a bien plu malgré les déboires de Maxime. Mais c’est ça le VTT avec son côté imprévisible qui en fait le charme à condition toutefois que cela n’arrive pas trop souvent.
Alain Bourdonnas
Bravo Alain, merci pour ce compte rendu.