La crevaison :
Comme Samedi dernier, nous nous trouvons deux pour effectuer cette nouvelle édition : Pierre-Jacques et moi-même. Il y a un beau soleil et la vue est bien dégagée alors je propose que nous allions faire un tour sur le Montaigu. La dernière visite que nous lui avons faite s’était plutôt mal passée puisque nous avions du en redescendre avant même d’avoir atteint le sommet. En effet, une branche était venue se prendre dans la transmission de Maxime cassant son dérailleur et le forçant à l’abandon.
Nous passons par le moulin de Gisfort puis par le moulin de Carrière et montons sur le plateau de Saint Siffret. De là nous prenons une série de chemins pour éviter de passer dans le village. Après un peu de roulage, nous rejoignons finalement la plaine pour la traverser en direction de Saint Hippolyte de Montaigu.
Cette fois-ci, nous évitons la série d’arbres couchés sur le chemin habituel en empruntant un autre sentier qui mène vers Roc Fourcat. Assez rapidement nous nous trouvons au sommet. Nous pouvons alors contempler tout l’environnement du proche au loin, des Cévennes aux Alpilles, du Mont Ventoux au Mont Aigoual ou encore du Mont Bouquet au Pic Saint Loup. C’est tout juste si nous ne voyons pas la mer!
La descente se fait du côté de Saint Victor des Oulles. Nous passons dans le village et prenons la direction des Sablons. Avant la fin de leur traversée, je suis victime d’une crevaison de la roue arrière. Une cartouche de CO2 ne suffit pas à réparer la roue. Tout le produit ressort par le trou de la jante par où passe la valve. Me voilà donc obligé à mon tour d’abandonner. Mon fils vient me récupérer et Pierre-Jacques rentre à Uzès par la route.
Belle sortie tout de même, agréable et pittoresque, mais dont la fin s’est avérée être un peu moins drôle.
Comme Samedi dernier, nous nous trouvons deux pour effectuer cette nouvelle édition : Pierre-Jacques et moi-même. Il y a un beau soleil et la vue est bien dégagée alors je propose que nous allions faire un tour sur le Montaigu. La dernière visite que nous lui avons faite s’était plutôt mal passée puisque nous avions du en redescendre avant même d’avoir atteint le sommet. En effet, une branche était venue se prendre dans la transmission de Maxime cassant son dérailleur et le forçant à l’abandon.
Nous passons par le moulin de Gisfort puis par le moulin de Carrière et montons sur le plateau de Saint Siffret. De là nous prenons une série de chemins pour éviter de passer dans le village. Après un peu de roulage, nous rejoignons finalement la plaine pour la traverser en direction de Saint Hippolyte de Montaigu.
Cette fois-ci, nous évitons la série d’arbres couchés sur le chemin habituel en empruntant un autre sentier qui mène vers Roc Fourcat. Assez rapidement nous nous trouvons au sommet. Nous pouvons alors contempler tout l’environnement du proche au loin, des Cévennes aux Alpilles, du Mont Ventoux au Mont Aigoual ou encore du Mont Bouquet au Pic Saint Loup. C’est tout juste si nous ne voyons pas la mer!
La descente se fait du côté de Saint Victor des Oulles. Nous passons dans le village et prenons la direction des Sablons. Avant la fin de leur traversée, je suis victime d’une crevaison de la roue arrière. Une cartouche de CO2 ne suffit pas à réparer la roue. Tout le produit ressort par le trou de la jante par où passe la valve. Me voilà donc obligé à mon tour d’abandonner. Mon fils vient me récupérer et Pierre-Jacques rentre à Uzès par la route.
Belle sortie tout de même, agréable et pittoresque, mais dont la fin s’est avérée être un peu moins drôle.